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Les orgues de la région d'Altkirch
Luemschwiller, St-Christophe
Orgue entièrement authentique.
Luemschwiller, l'orgue Georges Schwenkedel.
Toutes les photos sont de Martin Foisset, 13/10/2018.Luemschwiller, l'orgue Georges Schwenkedel.
Toutes les photos sont de Martin Foisset, 13/10/2018.

La localité de Luemschwiller est surtout connue pour ses fontaines, et son célèbre retable, attribué à Hans Baldung-Grien (1484-1545) : c'est l'un des chefs d'œuvre de l'art pictural du 16ème siècle. Quant à l'orgue, logé dans un buffet (en chêne) particulièrement réussi, il s'agit de l'opus 44 de Georges Schwenkedel ; il date de 1933, et c'est un précieux témoin, entièrement authentique, du style post-symphonique alsacien.

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Historique

Un premier instrument a été construit ici en 1833 par Valentin Rinkenbach, selon un devis daté du 25/01/1833. [IHOA] [Barth] [PMSRHW]

On sait que son buffet ressemblait à celui d'Osenbach, avec trois tourelles "classiques" de 5 tuyaux, la centrale étant la plus petite. [IHOA]

Un premier devis, du 12/12/1829, fut accepté, et il semble même que Valentin Rinkenbach ait achevé l'orgue... avant que la commune ne mette fin à l'affaire, car les revenus des coupes n'avaient pas atteint le montant estimé. Or, l'accord était bel et bien signé et valable. La préfecture intervint, et une nouvelle commande fut passée. C'est pourquoi le second devis de Rinkenbach commence par : "Devis d'un nouveau jeu d'orgues à 16 registres..." ...alors qu'il s'agit du premier orgue de Luemschwiller ! Vu les délais, il est probable que ce soit l'orgue déjà construit qui ait été posé. Ce qui est sûr, c'est que Rinkenbach ajouta un Bourdon 16' manuel en cours de projet, car son absence était alors devenue inconcevable. [PMSRHW]

Voici la composition probable de ce petit instrument, d'après le devis et l'ajout du Bourdon 16' :

Composition, 1833
Grand-Orgue, 54 n. (C-f''')
Ajouté en cours de projet
'deux octaves et une quinte'
(C-h)
(c-f''')
Pédale, 13 n. (C-c)
[PMSRHW]

L'orgue fut reçu par Joseph Britschgy (Altkirch) et l'architecte F. Wagner, le 03/12/1833.

En 1872, c'est Claude-Ignace Callinet qui installa l'instrument dans la nouvelle église. [Barth]

En 1894, Joseph Antoine Berger fit des transformations. [PMSRHW] [Barth]

L'instrument a été totalement ruiné en 1917. Les tuyaux de façade avaient été réquisitionnés le 04/03/1917, quelques jours avant que le village ne soit évacué. [IHOA]

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Historique

En 1933, Georges Schwenkedel posa à Luemschwiller son opus 44, dans un buffet néo-classique. [ITOA] [Barth]

Un premier projet fut élaboré en 1928 (un peu plus petit que l'orgue finalement réalisé) :

Les différences entre ce projet de 1928 et la réalisation de 1932 sont significatives de l'évolution de la facture d'orgues à l'époque :

- Au grand orgue, le Salicional est remplacé par un couple Gambe + Flûte douce ; la Mixture 3 rangs par un Cornet progressif. Ce Cornet progressif deviendra la "marque de fabrique" de Schwenkedel, qui appréciera toujours de compléter les Cornets par une basse.

- Au récit, le très "symphonique" couple Geigenprincipal 8' + Flûte harmonique 8' devient un Cor de Nuit 8' et un Quintaton 8'. Notons qu'il peut s'agir d'une démarche plus "économique" permettant de doter le grand-orgue et la pédale d'un jeu supplémentaire : une Flûte harmonique 8', ce n'est pas donné ! De plus, le Principal 4' du récit devient un Gemshorn, un peu plus riche en harmoniques (probablement pour compenser le départ du Geigenprincipal).

- La pédale est plus étoffée, avec un Bourdon 8' spécifique, et la possibilité d'emprunter la Trompette du récit, et donc de disposer d'un jeu expressif.

La Crémona est une Gambe très étroite, avec un son très étiré et incisif, pouvant servir de soliste. Elle vient remplacer l'Harmonica 8' - clairement plus "Walckerienne" - du projet.

En janvier 1931, on se demandait si l'on pouvait garder le buffet de 1833 (qu'il aurait fallu considérablement agrandir), mais finalement et heureusement, il fut décidé de procéder à la construction du beau buffet actuel.

L'orgue fut inauguré le 28/05/1933 à 14h30. Curt Schwenkedel, le fils de Georges (et futur dirigeant de la maison Schwenkedel) y participa, en jouant la Toccata en Ré m de Bach. [PMSRHW] [ITOA] [Visite]

Le programme de l'inauguration est affiché dans le soubassement de l'orgue. On y apprend que la cérémonie était patronnée par le curé L. Schrapf et le maire J. Würtz. Après une allocution de curé Amann de Wittersdorf, l'instrument a été béni par le chanoine Rominger de Mulhouse. Le programme musical était constitué d'une première partie "récital", et d'une seconde avec chant choral : [Luemschwiller1933]

- L' "Hymne triomphal" de Capozzi, par le Dr. Goehlinger (collège de Zillisheim)

- La "Fantasia" de Luigi Bottazo, par M. Muller (curé à Aspach)

- L' "Adagio molto" de la 3ème sonate de Guilmant, par le Dr. Goehlinger

- Les variations sur "O filii" de Lecocq, par M. Muller

- La "Prière" d'Emile Wambach, par M.A. Deutschler (instituteur Luemschwiller)

- La "Prière à Notre Dame" de Léon Boëllmann, par J. Gloess (Mulhouse)

- Le prélude de choral "In dir ist Freude" de J.S. Bach, par J. Gloess. (A priori, le BWV 615, de l'Orgelbüchlein)

- La Toccata en ré mineur de J.S. Bach, par Curt Schwenkedel, le fils du constructeur de l'orgue

- Une Toccata d'Albert Renaud, par le Dr. Goehlinger

- Le "O salutaris" de M. Haller, par le chœur d'hommes

- L'Alleluia de la Fête-Dieu

- L'Ave Maria de Marcello

- Le prélude et fugue sur l'hymne mariale "Es blüth der Blumen eine" de Kagerer, par M. Muller

- Le "Cantatibus organis" d'Althoffer, par le chœur d'hommes

- Le "Tantum ergo" de M. Haller, par le chœur d'hommes

- ...et (bien entendu) l'hymne "Grosser Gott" (probablement avec l'assemblée)

Le tout fut suivi de bis et d'improvisations ("Freie Kombinationen") par les différents organistes. [Luemschwiller1933]

Le programme fut donc marqué par une forte "collégialité" rassemblant les nombreuses ressources locales, et un grand caractère festif. Et par son éclectisme, aussi, puisqu'on y fit une place aux romantismes italien et flamand. Avec la "Prière à Notre-Dame", le "Cantatibus" et "Grosser Gott", il est clair que nul, dans l'auditoire ne pouvait être déçu... A noter que le répertoire romantique français (outre l'incontournable extrait de la Suite Gothique de Boëllmann, enfant d'Ensisiheim) a été présenté par un professeur du collège de Zillisheim (le Dr. Goehlinger), et ce fut des pièces de Guilmant et Albert Renaud.

Il y eut un nettoyage en 1956, et l'orgue a été relevé en 1996 par Christian Guerrier. [IHOA]

Le buffet

Cette sculpture, à la fois claire-voie et rinceau,
est spécifique au buffet de Luemschweiller.Cette sculpture, à la fois claire-voie et rinceau,
est spécifique au buffet de Luemschweiller.

La belle boiserie de 1932, néo-classique, de près de 5m de large, témoigne de l'importance fondamentale prise par les buffets dans les années 30. Trois tourelles à entablements, la plus grande au centre, sont séparées par deux plates-faces au sommet ondulé car souligné par un élément sculpté faisant à la fois claire-voie et rinceau. Le langage ornemental est repris de l'orgue classique : claires-voies (très développées), jouées, culots. Mais ils sont dotés de caractéristiques nouvelles : zones ajourées en losange, culots à cylindres (librement inspirés des Verschneider ?), couronnements très ajourés. Le trophée central figure une lyre. Le culot de la tourelle centrale est un cartouche, entouré de volutes. La façade, en étain, est d'origine : elle témoigne (vu le coût à l'époque) des efforts consentis à la réalisation de cet instrument. Cette façade ne comporte aucun tuyau muet.

Caractéristiques instrumentales

Composition, 2018
Grand-Orgue, 56 n. (C-g''')
C-h' en bois
Etain ; C-e + a-ais' en façade ; f-gis + h'-g''' sur vent
C-h en bois, puis métal, lèvres supérieures arquées et retroussées
C poinçonné 'ZARTFLOTE 8' ; C-h en zinc ; entailles d'accord
C-f en zinc
Etain, C-a en façade, puis sur vent
C-H 3 rgs, c-h 4 rgs, c’-g’’’ 5 rgs ; 8’ à cheminées rentrantes
Réelles, récit à 68 notes au sommier
Récit expressif, 56 n. (C-g'''')
C-H en bois ; gis'''-g'''' ouverts
C-H zinc, gis'''-g'''' à manchons
C-f en zinc ; gis'''-g'''' à manchons ; très étroite ; freins Gavioli
(c-g'''' ; c-h en zinc)
C-H en zinc
(C-g''')
C-h en zinc ; gis''-g''' harmoniques, gis'''-g'''' à bouche
Pédale, 30 n. (C-f')
Bois ; bouches droites
Zinc
Emprunt du récit (donc expressive)
En fait, les combinaisons sont ajustables
Tutti sans accouplements à l'octave
Avec tous les accouplements
Picots et piston à accrocher
Pas d'appel ; pédale basculante
[ITOA] [Visite] [MFoisset]
Console:
La console indépendante, avec ses dominos horizontaux et sa combinaison libre par picots.La console indépendante, avec ses dominos horizontaux et sa combinaison libre par picots.

Console indépendante face à la nef, fermée par un rideau coulissant. Tirage des jeux par dominos presque horizontaux (axés en queue), à porcelaines centrales, disposés en ligne au-dessus du second clavier, et groupés par plan sonore. Les accouplements et tirasses sont commandés par dominos, et constituent le groupe de droite. Les porcelaines ont un fond blanc pour le grand-orgue, rose pour le récit, et jaune pour la pédale. Accouplements et tirasses sont bicolores pour respecter ce code de couleur.

Clavier blancs, joues moulurées. Les commandes à pied sont toutes à droite de la console, avec, de gauche à droite, la pédale basculante du crescendo (repérée par une porcelaine ronde blanche "Crescendo"), celle de l'expression du récit (porcelaine ronde rose "Boîte expressive"), et la pédale-cuiller à accrocher du trémolo du récit (porcelaine ronde rose "Tremolo II").

Commande des combinaisons par pistons blancs, situés à gauche sous le premier clavier. La combinaison libre se programme par des picots basculants blancs, situés au-dessus de chaque domino ; les accouplements et tirasses sont donc programmables. De gauche à droite : "Fr.Comb." (c'est un piston "à accrocher", donc sans annulateur), "P.", "MF.", "F." (tutti sans accouplements à l'octave), "TT." (tutti avec tous les accouplements), et "Annul.". Ces combinaisons s'ajoutent à la registration manuelle, qui n'est pas retirée lors de leur appel (ce ne sont donc pas des combinaisons "fixes" à proprement parler). De même, le crescendo s'ajoute à la registration manuelle. Il est commandé par une pédale basculante à 12 positions, et repéré par un cadran linéaire à lettres dorées, numéroté de 0 à 12, dans le quel se déplace un point rouge. (Un picot rouge de combinaison libre vu par le dessus ?)

La combinaison "P" appelle la registration suivante :

G.O. : Bourdon 8', Flûte 8', II/I
Réc. : Quintaton 8', Cremona 8', Gemshorn 4'
Ped. : Soubasse 16', I/P, II/P

La combinaison "MF" ajoute les jeux suivants à la précédente :

G.O. : Prestant 4', Montre 8'
Réc. : Bourdon 8', Flûte 2'
Ped. : Flûte 8'

La combinaison "F" ajoute les jeux suivants à la précédente :

G.O. : Bourdon 16', Gambe 8', Cornet
Réc. : Trompette
Ped. : Violon (et la Trompette, puisque c'est celle du récit et que la tirasse récit est déjà active)

La combinaison "Tutti" ajoute les deux accouplements à l'octave.

Banc d'origine, caractéristique de Georges Schwenkedel (plateau clair, pieds foncés).

Comme souvent chez Georges Schwenkedel, la plaque d'adresse est composée de plusieurs porcelaines rectangulaires blanches à lettres noires. La plaque "principale" est à gauche, au niveau des picots, et dit :

Georges Schwenkedel
Manufacture de Grandes Orgues
STRASBOURG-KOENIGSHOFFEN

Le fait suivant est significatif : bien qu'elles soient "génériques", ces plaques n'ont pas été faites en série : à Bernwiller, le mot "grandes" n'a pas de majuscule, et il a des points, et le lieu de fabrication n'est pas tout en majuscules. Sur ces instruments, même ce qui se ressemble beaucoup n'a pas été fait en série, mais, à chaque fois, avec une "touche" spécifique.

Les deux autres sont à droite des picots, et donnent respectivement le numéro d'opus et la date de construction :

Opus 44
1932
Transmission:

Pneumatique tubulaire (notes et jeux). D'excellente qualité est très agréable à jouer.

Sommiers:

Les sommiers sont à cônes. Pour chaque note, le pilote commandant la barre des cônes est simplement soulevé par un petit soufflet : la maintenance est très facile.

Le grand-orgue est diatonique, en "M" (basses aux extrémités). Façade sur moteurs pneumatiques.

Le récit est placé à l'endroit habituel, derrière le grand-orgue et légèrement surélevé. Il est également diatonique, en "M".

La pédale est logée à gauche, contre le flanc. Elle est chromatique, avec les basses à l'arrière.

Tuyauterie:

Entailles de timbre et Bourdons à calottes mobiles, Gambes à freins : la facture est résolument romantique. Le Cornet n'est pas posté : complété dans le grave (et progressif), il constitue une Mixture-Tierce (librement) inspirée de l'esthétique romantique germanique. Comme souvent chez Schwenkedel, on trouve des tuyaux à cheminées entrantes. Le Bourdon 8' du grand-orgue (très réussi !) est d'une construction très spécifique : dans les aigus, les lèvres supérieures sont arquées et retroussées vers l'extérieur. Il y a de petites oreilles, et le biseau est (bien sûr) muni de dents fines. La Crémona est une Gambe très étroite ; elle est dotée de grands freins Gavioli (indépendants des oreilles).

La tuyauterie du grand-orgue (à gauche), ainsi que
la pédale (au fond, contre le flanc : d'avant en arrière : Flûte 8', Violon, Soubasse 16').
En haut à droite, les jalousies de boîte du récit.
Ordre des chapes du grand-orgue de gauche (façade) à droite :
Montre, Prestant, Bourdon 16', Flûte 8', Gambe 8', Bourdon 8', Cornet.La tuyauterie du grand-orgue (à gauche), ainsi que
la pédale (au fond, contre le flanc : d'avant en arrière : Flûte 8', Violon, Soubasse 16').
En haut à droite, les jalousies de boîte du récit.
Ordre des chapes du grand-orgue de gauche (façade) à droite :
Montre, Prestant, Bourdon 16', Flûte 8', Gambe 8', Bourdon 8', Cornet.
Le Cornet "complété" constitue un trait caractéristique des œuvres  de Georges Schwenkedel.
On en voit ici la moitié ("côté C"), car il est diatonique
(puisque placé sur les sommiers du grand-orgue).
Il n'est pas "posté" comme dans l'orgue classique, mais "sur le vent"
car il a plutôt une mission de Mixture-tierce.
Les 6 notes à gauche (avec les 6 de l'autre côté)
constituent l'octave grave (C-H), à trois rangs.
Les 6 suivantes (c-h) sont à 4 rangs. Il y a deux reprises :
une avant la première (c), et une avant la 5ème (gis).
Les 16 notes de droite (32 avec celles de l'autre côté, soit c'-g''')
ont 5 rangs. A partir de là, plus de reprise. On distingue les trous dans les
calottes du 8', qui sont en fait des cheminées entrantes.Le Cornet "complété" constitue un trait caractéristique des œuvres de Georges Schwenkedel.
On en voit ici la moitié ("côté C"), car il est diatonique
(puisque placé sur les sommiers du grand-orgue).
Il n'est pas "posté" comme dans l'orgue classique, mais "sur le vent"
car il a plutôt une mission de Mixture-tierce.
Les 6 notes à gauche (avec les 6 de l'autre côté)
constituent l'octave grave (C-H), à trois rangs.
Les 6 suivantes (c-h) sont à 4 rangs. Il y a deux reprises :
une avant la première (c), et une avant la 5ème (gis).
Les 16 notes de droite (32 avec celles de l'autre côté, soit c'-g''')
ont 5 rangs. A partir de là, plus de reprise. On distingue les trous dans les
calottes du 8', qui sont en fait des cheminées entrantes.
La tuyauterie du récit.
De gauche (mur du fond) à droite (jalousies et accès) :
la Voix céleste, le Cor de nuit, le Quintaton, la Crémona (très étroite),
le Gemshorn 4', le Flageolet, et la Trompette.La tuyauterie du récit.
De gauche (mur du fond) à droite (jalousies et accès) :
la Voix céleste, le Cor de nuit, le Quintaton, la Crémona (très étroite),
le Gemshorn 4', le Flageolet, et la Trompette.
La Crémona est la "signature" de cette composition.La Crémona est la "signature" de cette composition.

Avec son opus 44 aussi, Georges Schwenkedel a signé un instrument plein de spécificités : jamais il ne se sera arrêté sur le chemin des innovations esthétiques pour enrichir son style si particulier, constituant une approche très personnelle du post-symphonisme. L'instrument se distingue par sa Crémona, son exceptionnelle "Flûte douce" (rappelant les Flûtes traversières pré-romantiques alsaciennes), son Flageolet conique caractéristique de la production de son auteur, son Cornet "complété", et une Trompette à la fois puissante et contenue par sa boîte expressive très efficace. Il y a aussi de nombreuses bonnes idées, comme cette Trompette de récit empruntée par la pédale, qui y produit des effets très intéressants. Mais c'est là où on ne l'attendait pas que Georges Schwenkedel crée la surprise : par son traitement spécifique du Bourdon 8' du grand-orgue, le jeu le plus "commun" qui soit, et qui fait ici l'objet d'un "twist" digne d'un grand scénariste. Les orgues des années 30 de Schwenkedel comptent parmi les plus attachants du patrimoine alsacien.

Références Sources et bibliographie :

Carte Localisation :

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Immatriculation de l'orgue actuel : F680191001P02
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