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Les orgues de la région de Woerth
Froeschwiller, église de la Paix
vers 1720 atte > Orgue attesté
1917 degr > Dégâts
Froeschwiller, l'orgue Steinmeyer.
Les photos sont de Martin Foisset, 19/08/2020.Froeschwiller, l'orgue Steinmeyer.
Les photos sont de Martin Foisset, 19/08/2020.

Cet orgue était un cadeau de la Bavière à l'Alsace. Il fut offert à Froeschwiller en 1876. C'était un présent d'exception, un acte de réconciliation motivé par les événements du 6 août 1870 ("Le jour tombait, la lutte était horrible"). La première pierre de l'Eglise de la Paix fut posée deux ans jour pour jour (6 août 1872), après la destruction de l'édifice de 1846, qui avait été incendié lors des combats. La magnifique "Friedenskirche" est l'œuvre de l'architecte Charles Winkler, et a été inaugurée le 30 juillet 1876. En plus d'être un lieu de culte, c'est donc aussi un mémorial du souvenir, et un symbole de réconciliation.

Classé le 06/12/1898, l'édifice a été déclassé en 1930, pour des raisons purement xénophobes : "d'après 1870, sans intérêt". Ce travail de sape initié dans les années 30, a eu de graves conséquences, qui durent encore. Vu son importance historique, son Classement devrait pourtant être une évidence et une priorité. Aujourd'hui (2020), l'état de cet édifice et de son orgue est plus que préoccupant. Au lieu de susciter de l'émerveillement, leur visite cause une grande tristesse. Une tristesse certes teintée d'admiration pour les bonnes volontés locales, qui témoignent d'un infaillible engagement. Car le dimanche matin, on y balaye les gravats tombés des voûtes au cours de la semaine. Mais il est clair qu'avec des moyens inexistants, des institutions qui sont très fortes quand il s'agit de multiplier les contraintes et les tracasseries, mais beaucoup moins quand il s'agit d'œuvrer positivement, les bonnes volontés ne suffisent plus. Un moment, il faut bien oser dire la vérité : malgré un engagement local sans faille, l'intérieur de l'édifice, fané, usé, noirci, fait vraiment peine à voir au visiteur qui connaît la portée symbolique de l'endroit. Et l'orgue... Mais, franchement, quelle horreur ! Ce qui a été commis ici en 1961 est une véritable honte. Depuis cette année funeste, ce malheureux instrument de musique, défiguré, mutilé, n'a plus aucun intérêt instrumental. Ici fut pratiquée l'une des pires "néo-baroquisatons" commises par l'époque noire de la facture alsacienne.

Pour l'amateur d'orgue, visiter celui de Froechwiller est donc une expérience déchirante : c'était sûrement l'un des plus beaux orgues d'Alsace. C'était un cadeau. Nous aurions dû le respecter et l'entretenir. Il a probablement encore un potentiel énorme, pour peu qu'une prise de conscience ait lieu, et qu'il soit confié à des professionnels compétents qui pourront estimer les dégâts (et donc l'ampleur des réparations). C'est un instrument magique, par son origine, son buffet, son histoire, son aura et son contexte... mais dont les sons stridents et criards n'ont rien à voir avec une orgue de cette classe ! Ils sont une véritable insulte à l'œuvre de Steinmeyer. Un vrai crève-cœur. Voyons donc comment on a pu en arriver là.

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L'orgue de facteur inconnu (vers 1720)
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Historique

Dans la première église ("mixte") de Froeschwiller, il y avait eut un orgue, installé probablement vers 1720. On ne sait toutefois pas grand-chose de cet instrument. [IHOA]

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L'orgue Moeller,
1767
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Historique

En 1767, ce sont les frères Moeller qui construisirent un orgue quasi-neuf (ils réutilisèrent des éléments de l'ancien instrument). [IHOA] [PMSCS61]

L'orgue Moeller fut démonté, puis remonté dans la nouvelle église, achevée en 1846. [IHOA]

L'instrument fut détruit, avec son édifice, par faits de guerre, le 06/08/1870. [IHOA]

Il y eut deux types de réactions. D'un côté furent composées ces fameuses chansons guerrières, revanchardes, glorifiant le patriotisme et appelant à la vengeance. De l'autre, il y eut une grande mobilisation, à travers toute l'Allemagne, visant à la Réparation : collectes, dons de particuliers, d'associations, de municipalités. Rapidement, il fut possible de reconstruire une église pour Froeschwiller.

Ceci est un test

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L'orgue Georg Friedrich Steinmeyer,
1876 (instrument actuel)
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Historique

C'est en 1876 que Froeschwiller reçut l'opus 145 de Georg Friedrich Steinmeyer, d'Oettingen en Bavière. [IHOA] [ITOA] [WebSteinmeyer]

L'instrument était donc un cadeau de la Bavière. Et quel cadeau ! Un cadeau venant du peuple même, comme l'atteste l'inscription sur le buffet : "Gestiftet aus gesammelten Gaben in Bayern durch Hilfsverein Nürnberg, 1876"). Ce qui en magnifie encore la portée : ce sont des dons locaux et de particuliers qui permirent de faire ce présent. [PMSSHAH1980]

On lit un peu partout qu'il s'agit "du seul Steinmeyer d'Alsace". Certes. Mais c'est parfois la seule chose que l'on lit, et c'est un peu dommage. D'abord, pour toute personne un peu versée dans la facture d'orgue, ce présent de réconciliation laisse bouche-bée. On peut dire que ce n'était pas un cadeau fait à l'économie : les Bavarois se sont honorés, en offrant tout simplement ce qu'il y avait de meilleur dans le domaine. L'instrument, doté d'un buffet magnifique, réunit tous les éléments destinés à faire de cette machine un sommet de son art. Que ce soit sous l'angle technique (les fameux sommiers à cônes ("Kegelladen"), si compliqués à réaliser, mais les seuls permettant de parvenir à l'harmonisation recherchée), sous l'angle historique ("Attention ! Cuirassiers ! Chargez !") ou musical (Rheinberger, Reger !), tout ici contribue à la légende.

L'édifice et son orgue perpétuent aussi le souvenir du pasteur Karl Klein (31/05/1838 - 29/04/1898), qui a vécu la bataille du 06/08/1870 (et y a été blessé) : il écrivit ses "Images de guerre et de paix", puis la "Chronique de Froeschwiller". C'est, quelque part, à lui que l'on doit la construction de l'église de la Paix, puisqu'aucune générosité, fut-elle la plus spontanée, ne peut venir sans mobilisation, et ne peut concerner que des projets concrets.

Avec 16 jeux sur 2 claviers et pédale, ce n'est bien sûr pas l'orgue de la Lorenzkirche de Nuremberg, mais l'instrument est idéalement adapté à l'édifice, et il y a l'esprit de Walcker, et bien sûr le souffle de Georg Friedrich Steinmeyer. Voici un essai de restitution de la composition d'origine :

Composition, Restitution
Grand-Orgue, 54 n. (C-f''')
(G-f''')
C-cis en Montre. Tuyaux sur le vent en étain.
Etain
C-Dis en Montre, le reste en étain.
Taille large
Chape libre
Sûrement sur le sommier supérieur, contre la façade.
Récit, 54 n. (C-f''')
Pédale, 27 n. (C-d')
I/P

Notons qu'il y a 8 chapes au grand-orgue (4 à chaque étage), et 5 au récit (la centrale est vide actuellement. Ce qui avait les 4 jeux de pédale fait 17 jeux. Il est probablement que seulement 16 chapes aient été pourvues. Il reste un doute sur la place du Salicional : était-il au grand-orgue ou au récit ? Certains de ces tuyaux sont aujourd'hui dans le jeu de 2' du récit. (Avec décalage, évidemment, par exmeple le a' étant devenu h, soit 11 demi-tons...) Ces tuyaux sont poinçonnés "Salicional", mais le nom du clavier (II) est dévrit à la point sèche, comme le "2'" du jeu bricolé en 1961. Les tuyaux actuellement sur le sommier du haut du grand-orgue sont difficilement accessible, et pour résoudre le problème, une étude plus poussée est nécessaire.

Les tuyaux de façade ont été réquisitionnés en 1917. [IHOA]

C'est Georges Schwenkedel qui remplaça la façade, en 1931 (par des tuyaux en zinc). [ITOA]

En 1961, eut lieu une épouventable "baroqusation" de ce malheureux instrument. [IHOA]

Il faut à nouveau rappeler qu'il ne faut pas forcément tenir rigueur aux facteurs d'orgues qui procédé à ces altératoiins. Les commenditaires, et le monde de l'orgue de l'époque en géréal, ont une grande part de responsabilité. Force est de constater que, dans les années 1960, la connaissance des instruments romantiques en général était fortement lacunaire, même chez les experts, et, de toutes façons, ces orgues étaient discrédités, à dessein, pour favoriser les esthétiques "nordiques" et "baroques" adulées par organistes alors à la mode. Le public ne s'en souciait pas, et, d'aileurs, dans les années 1960, soutenir qu'un orgue d'origine allemande n'avait aucune inérêt était une affirmation qui "passait bien". Les facteurs eux, faisaient preuve de beaucoup de laxisme face aux demandes saugrenues des commenditaires et de leurs experts, mais... il faut bien payer ses employés. Nous ne citerons donc pas ici le nom du facteur qui a exécuté l'effroyable mutilation de 1961. Son nom peut être trouvé ailleurs, mais il faut rappeler que beaucoup d'erreurs se sont glissées dans les historiques : on peut donc vite se tromper ! Au lieu de parler "responsabilités", il vaut mieux se concentrer sur ce qui a été fait à ce pauvre instrument. Pour que cela ne se reproduise pas, et dans l'espoir que ce soit un jour réparé :

Un orgue gravement altéré et mutilé

La partie la plus "évidente" fut les changements deux jeux :

- La Gambe du grand-orgue a été supprimée, et remplacée par une "Octave 2'" totalement inutile dans ce genre d'esthétique. (Les 2' peuvent être présents dans un orgue de cette époque, mais uniquement dans les grands instrument, sûrement pas dès 16 jeux.) Ce 2' a été constitué en grande partie par les tuyaux de la Gambe, découpés pour les raccourcir. Mais on en retrouve aussi dans la "nouvelle" Mixture 1'1/3.

- La Mixture d'origine (2'2/3 comme il se doit) a été fondamentalement modifiée pour passer en 1'1/3, soit une octave plus haut qu'à l'origine. Certains tuyaux de la Mixture 2' 2/3 d'origine ont été ré-utilisés dans l'instrument, puisqu'on en retrouve dans la Flûte 4'. Et dans la "nouvelle" Mixture, on retrouve même des tuyaux... Stiehr.

Mais c'est le récit qui eut à payer le plus lourd tribut aux marottes "baroques". Ce récit n'est pas espressif : il est placé dans le soubassement, entre le sommier inférieur du grand-orgue et la pédale. Il dispose de 5 chapes. Les dégâts furent considérables :

- Le Geigenprincipal disparut. Il a été remplacé par un Principal 4'. (Alors qu'il y avait déjà une Fugara 4'...) Les tuyaux sont munis de poinçons "Okave" et marqués "I" à la pointe sèche. Leur provenance est incertaine et devrait être étudiée. Il ne semble pas que ce soit le Principal 4' du grand-orgue déplacé, mais ce n'est pas à exclure.

- L'Aeoline 8' a été "transformée" (découpée) pour en faire une Mutation en 2'2/3. A part l'octave grave, bouchée, en spotted, et à l'évidence de 1961, le reste de ce jeu est constitué par les beaux tuyaux de l'Aeoline, dont les orilles ont été arrachées. Il y a des encoches d'accord dans le medium, et le dessus est coupé au ton, ce qui signifique que toute leur partie supérieure a été supprimée.

- La Fugara 4' a été supprimée et remplacée par un 2'. Ce 2' est constitué de tuyaux... d'un Salicional découpé ! Si bien que celui qui est actuellement au grand-orgue n'est peut-être pas d'origine. La pauvre Fugara, qui, avec l'Aeoline, faisait partie des jeux "emblématiques" de cet instrument, semble avoir totalement disparu.

Mais les "parties cachées" (celles qui n'apparaissent pas depuis la console ou dans les inventaires) allongent la désolante liste : chacun de ces changement de jeux a pu coûter son authenticitée à plusieurs autres jeux, les tuyaux ayant été réutilisés, découpés et "arrangés" un peu de partout : il y a des tuyaux du Salicional dans le jeu de 2' du récit, le Bourdon du récit sonne tellement mal qu'il a forcément été réharmonisé... Autre exemple : la Flûte 4' du grand-orgue : jusqu'à c'', on y trvouve les tuyaux d'origine, avec leur poinçon "FLOETE" en demi-cercle, et le nom de la note. Mais le d''' est réalisé avec un cis'' de la Mixture (le sommier est diatonique), et continue ainsi. Ces tuyaux de Mixture ont été "réaccordés" en soudant leurs encoches d'accord. Ils sont donc aujourd'hui coupés au ton. Pour faire cette modification, dans un but qui reste totalement obscur, on a donc altéré le dessus de la Flûte 4', mais aussi perdu une partie du rang de 2' de la Mixture !

En 1997, la maison Muhleisen vint faire un relevage. [IHOA]

Mais une restauration n'était pas au programme.

Le buffet

Le buffet, néo-gothique, a été construit par Muller, de Strasbourg, sur les plans de l'architecte de l'église, le Colmarien Charles Winkler. Deux monogrammes scuptés au-dessus de la console donnent les lettres "M" et "W", pour Muller et Winkler. Winkler, le restaurateur de la collégiale de Thann, a dessiné d'autres buffets d'orgues, comme celui de Selestat, Ste-Foy. On, lui doit de nombreuses églises, comme celles de St-Morand à Altkirch (1886), de Cernay (1891), Fellering (1880) ou Raedersheim (1882). [Palissy]

La principale originalité de ce buffet tient aux "demi-tourelles", n'apparaissant dans la partie haute qu'après une corniche intermédiaire. Trois tourelles principales, prismatiques (base en semi-hexagone), la plus grande au milieu, encadrent deux sous-ensembles constituées d'une plate face inférieure, surmontée d'une mini-tourelle et de deux plates-faces. La corniche où commencent les parties supérieures continue après les grandes tourelles (donnant l'impression de passer derrière), pour constituer des sortes de "jouées à tuyaux" (ou petites plates-faces latérales). L'ornementation est caractéristique du langage néo-gothique : végétal (fruits) ; pinacles à crochets, avec deux figures d'anges (jouant du luth et de la harpe) sur les demi-tourelles.

Deux autres éléments sont très originaux : les deux gargouilles latérales, et les culots des tourelles latérales qui se prolongent par une colonne.

Les "jouées à tuyaux" existaient avant l'époque néo-gothique. Voir par exemple à Niederbronn-les-Bains (1807), et les Stumm ont aussi utilisé ce procédé pour "donner de l'ampleur". Les demi-tourelles, elles, sont beaucoup plus originales ; elles sont peut-être le résultat d'une évolution (agrandissement) de la galerie sommitale, qui est un classique de l'ornementation néo-gothique. Elle atteint ici des proportions peu communes. De plus, comme le grand-orgue est effectivement à deux étages, la structure externe n'est pas sans rapport avec l'interne. Sans être du "Werkprincip" (la structure extérieure respecte l'organisation intérieure), cela s'en rapproche un peu. En tous cas, le parti-pris esthétique est parfaitement justifié par la structure interne, et ne laisse rien à l'arbitraire. Winkler a fait un travail d'architecte soucieux de la fonction musicale de l'instrument.

Caractéristiques instrumentales

Composition, 2020
Grand-Orgue, 54 n. (C-f''')
(G-f''')
D'origine
C-cis en montre ; d-f''' sur le vent, en étain, d'origine ; façade de Schwenkedel
C-h' en bois, c''-f''' métallique, d'origine
C-Fis en bois ; provenance incertaine
e-f''' d'origine
C-h en bois ; aigus modifiés (tuyaux de la Mixture)
1961 ; Contient des tuyaux de la Mixture ; remplace une Gambe 8'
1961 ; 1'1/3, tuyauterie diverse, dont tuyaux Stiehr et de la Gambe ; jeu désastreux
Récit, 54 n. (C-f''')
D'origine, mais ré-harmonisé
1961 ; Poinçons 'Oktave' ; oreilles ; aplatissages en ogives ; ocupe la chape d'un Geigenprincipal
1961 ; C-H bouchés, spotted, puis Aeoline recoupée aux oreilles arrachées
1961 ; tuyauterie diverse, dont Salicional recoupé ; occupe la chape d'une Furaga 4' disparue
Pédale, 27 n. (C-d')
I/P
[ITOA] [Visite]
Console:

Console indépendante face à la nef, fermée par un couvercle basculant. Tirants de jeux de section ronde, finissant par un manchon noir à point blanc sur lequel les porcelaines sont fixées, tournées vers le haut ; ils sont disposés en 3 gradins de part et d'autre des claviers. Claviers blancs ; joues en volutes. La seule pédale (cuillère) commande l'appel "forte" : la tirasse et l'accouplement des claviers se commandent par tirants. Plaque d'adresse circulaire, en porcelaine blanche, située au centre au-dessus du second clavier.

Transmission:

mécanique à équerres.

Sommiers:

à cônes ("Kegelladen"), authentiques. Ceux du grand-orgue sont sur deux étages, les jeux "principalisants" étant en bas.

Tuyauterie:

Sites Georg Friedrich Steinmeyer (1819–1901)

Georg Friedrich Steinmeyer était un élève de Eberhard Friedrich Walcker. L'entreprise "G. F. Steinmeyer & Co." qu'il fonda à Oettingen construisit des orgues de 1847 (opus 1 à Frankenhofen ; repris en 1968 par la maison Steinmeyer elle-même, qui le conserva dans ses ateliers) à 2001. On lui doit quelques uns des instruments les plus marquants d'Europe (Passauer Dom, Christuskirche de Mannheim, Tonhalle de Zürich), 2600 opus, et des milliers d'harmoniums. L'orgue de Froeschwiller est presque contemporain de celui construit pour l'exposition universelle de Vienne (opus 115, II/P 21j, 1873), ensuite installé à l'église Ste-Brigitte de la capitale autrichienne. [WebSteinmeyer]

Après la mort du fondateur, son fils Johannes Steinmeyer prit la relève, et il y eut jusqu'à 4 générations : Hans, Fritz, puis Paul. Albert Schweitzer souhaita dans le livre d'or de la société : "daß der Geist der Väter in den Kindern lebendig bleiben möge und daß die neuen Orgeln den schönen Klang der alten haben". En 2011, l'entreprise changea d'activité, et les ateliers furent repris par Karl Göckel. Ces ateliers furent remis en vente par la suite. Il semblerait que Paul ait depuis repris le flambeau. [WebSteinmeyer]

Sites Webographie :

Références Sources et bibliographie :

Carte Localisation :

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Immatriculation de l'orgue actuel : F670147002P03
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