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| Molsheim |
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Gresswiller, St Martin
Michel STIEHR, 1812
STIEHR
| Composition, 1986 | |||||||||||||||||||||||||||
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 | A Gresswiller, Michel STIEHR ne construisit pas un orgue dans le style Roeschwoog (comme il l'aurait souhaité), mais un instrument d'aspect plus classique, avec 3 Tourelles rondes, selon les voeux du curé GOUG et de son conseil de fabrique. |
Gresswiller, le 25/04/2004 |
L'orgue Stiehr date de 1812.
Il n'avait à l'origine qu'un clavier manuel.
Le marché a été signé conjointement par Stiehr et son gendre François Xavery MOCKERS, le 26/10/1811.
| Composition, Devis | ||||||||||||||||||||||||
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En 1898, c'est Franz KRIESS, de Molsheim, qui transforma le Sommier, prévu pour 11 Jeux, en le séparant en deux. Il confectionna une nouvelle mécanique, à base d'Equerres et compléta la Pédale à 27 notes.
Les tuyaux de façade (Sol1 en Montre) ont été réquisitionnés par les autorités allemandes en Avril 1917.
L'orgue a été réparé par la Maison ROETHINGER en 1948.
Voici la Composition en 1966 :
| Composition, 1966 | |||||||||||||||||||||||||||
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En 1968, c'est la Maison SCHWENKEDEL qui fit des transformations. La Doublette du Grand-orgue, le quatre pieds de Pédale, le Bourdon du Récit ainsi que le Larigot (étranger à l'esthétique de cet instrument) sont de 1968.
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L'absence actuelle de Cornet est très dommageable dans un orgue Stiehr, car ce facteur plaçait systématiquement ce Jeu, qu'il devait considérer comme l'âme de l'instrument. |
Mécanique : à Equerres.
Sommiers à Gravures, celui des claviers étant d'origine, mais transformé.
L'instrument a été mis au diapason moderne.
Sources :
- P. MEYER-SIAT, "Stiehr-Mockers", AEA XX (1972-73), complété dans AEA XXII (1975) p.361