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Les orgues de la région de Mulhouse
Mulhouse, Ste-Marie-Auxiliatrice
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2010 proj > Projet
Cet édifice abritait un des chefs d'oeuvre de Martin et Joseph Rinckenbach, l'opus 126 de la Maison d'Ammerschwihr. Ce qui fut probablement l'un des plus beaux orgues d'Alsace fut définitivement perdu suite aux évènements de 2009-2012.
Mulhouse, Ste-Marie, la tribune vide.Elle le restera à présent, pour toujours, dans le coeur de très nombreux amoureux de l'Orgue.Mulhouse, Ste-Marie, la tribune vide.
Elle le restera à présent, pour toujours, dans le coeur de très nombreux amoureux de l'Orgue.

L'édifice date pour partie de l'arrivée des Franciscains à Mulhouse, au 13ème siècle. C'est pourquoi on la désigne parfois sous le nom "Barfüsser-Kirche", littéralement, "l'église des pieds-nus". Parfois, on l'appelle aussi "D'alte Kirch" - la vieille église. Ce fut l'église des Franciscains jusqu'à leur départ de Mulhouse (1524), puis... un grenier. A partir de 1529, le choeur fut progressivement utilisé à nouveau, et officiellement autorisé dès 1658 pour le culte réformé. De 1661 à 1812, on parla d'église réformée "française", puis l'édifice fut donné aux catholiques, qui le consacrèrent à St-Etienne. En 1860 (une fois l'actuelle église catholique St-Etienne achevée) l'ancienne fut consacrée à Ste-Marie-Auxiliatrice. Du point de vue de l'organologie, tout cela peut être source de pas mal de confusions. Quand on parle de "Mulhouse, St-Etienne" entre 1812 et 1860, c'est bien de cet édifice ("D'alte Kirch") dont il s'agit. Et quand on pale d'église réformée "française" de 1661 à 1812, il ne s'agit pas de St-Jean (construite en 1830) mais à nouveau de cet édifice, chargé d'histoire.

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L'orgue de facteur inconnu (1529)
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Historique

On ne sait pas grand chose du premier orgue de la "vielle église" de Mulhouse. Sa présence est attestée en 1529 par des dégâts dont il a été victime durant des querelles religieuses. [WebESMM]

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L'orgue Johann Jacob Brosi,
1788
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Historique

Ensuite, il y eut un instrument que Pie Meyer-Siat attribue à Johann Jacob Brosi (Prosi). Il date de 1788 : le fait est attesté par le sermon du Pasteur Pierre Risler, prononcé à l'occasion de l'inauguration, le 28/09/1788. [Palissy] [IHOA]

Johann Jacob Brosi (Hans Jacob Brosius, Prosi - l'orthographe est très variable -) est né en 1748. Il s'agissait du fils de Peter Friedrich Brosi (1700-1764), compagnon d'André Silbermann de 1730 à 1734 (il travailla à Colmar). Fort peu estimé par Jean-André, il travailla ensuite pour Rohrer, avant de s'établir à son compte à Bâle. Brosi fils s'installa après 1799 au Pays de Bade.

L'instrument était probablement placé sur un jubé (car ce dernier fut réparé, en même temps que l'orgue en 1818). L'organiste en 1825 était Antoine Lauff. [IHOA]

En 1812, les catholiques héritèrent de l'orgue Brosi, et c'est donc sûrement cet instrument qui fut vendu à St-Barthélémy de Dornach où il fut transféré en 1834. [IHOA]

A l'occasion de construction à Dornach d'un nouvel orgue par Georges et Nicolas Verschneider en 1862 (aujourd'hui disparu puisque remplacé par Roethinger en 1932), l'orgue de Brosi reprit la route. L'hypothèse de son passage par Schweighouse-près-Thann est aujourd'hui invalidée par le fait qu'on le retrouve de façon sûre en 1861 à Erschwil (CH, Soleure). Reconstruit en 2011 par la maison Metzler, cet instrument aujourd'hui fort bien mis en valeur à Erschwil : c'est un précieux témoin de la synthèse entre les styles d'orgues français (Thierry, Silbermann) et suisse. [OESP] [Metzler]

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L'orgue Joseph Callinet,
1834
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Historique

C'est en 1834 que fut construit l'orgue Joseph Callinet de Mulhouse, dont on ne sait finalement pas grand-chose (on n'a retrouvé ni devis ni accord). [IHOA] [ITOA] [HOIE]

Le traité est daté du 17/03/1833 et la réception eut lieu le 12/10/1834. Cela fait donc de cet instrument un quasi contemporain des prestigieux Callinet de Mollau, Ste-Croix-aux-Mines et Issenheim. On sait que l'orgue de Mollau "stabilisa" le style de Joseph Callinet : dans sa production, il y eut un avant, et un après Mollau. L'instrument qui suivit immédiatement cet archétype fut probablement celui de Ste-Croix-aux-Mines, et Mulhouse dût venir juste après.

Le style des Callinet était à cette époque fortement "arrêté", au point qu'en 1837 ils produiront leurs fameux "devis imprimés", numérotés de 1 à 4, par taille décroissante. Mais chaque instrument devait rester unique, et ces devis laissaient de nombreux degrés de liberté. Il s'agissait beaucoup moins d'une tentative de standardisation que d'une façon de décrire une architecture logique des instruments, afin que dans chaque segment, ils constituent un tout cohérent.

Si les compositions y étaient fortement affirmées, les devis imprimés laissaient en effet de la place pour la plupart des étendues (claviers, pédalier, tuyaux en façade, postages), montrant que celles-ci étaient définies "sur mesure".

Si ces devis imprimés ne sont apparus qu'en 1837, ils ont bien entendu été très inspirés de la production d'après Mollau. L'orgue de Mulhouse avait 3 claviers, et on en ignore la composition, mais celle-ci ne devait pas beaucoup s'écarter du "canon" de l'orgue, adapté à un environnement urbain, de la belle époque Callinet : un grand-orgue de 54 notes (14 jeux), un positif de dos de 54 notes (10 jeux), un récit de 42 notes (5 jeux) et une pédale de 25 notes (7 jeux).

L'orgue Callinet fut endommagé en 1860 par de fortes infiltrations d'eau. [WebESMM]

Il y eut une réparation, en 1879, de Louis-François Callinet. [IHOA] [ITOA] [HOIE]

Ce travail intervint donc après la construction de son orgue de Fréland (1877) et juste avant son départ pour Vesoul.

Essai de reconstitution du buffet Callinet de 1834.Note : j'ai effectué ce photo-montage bien AVANT d'avoir appris le sort qui allait être réservé à l'orgue Martin et Joseph Rinckenbach. Cette image a depuis été utilisée ailleurs pour promouvoir le nouvel orgue, fait qui m'oblige à clarifier ma position, puisqu'on pourrait être amené à croire que je cautionne par là ce qui a été commis à Mulhouse en 2010. Ce n'est pas le cas ; l'image a été "récupérée" à mon insu. La perte de l'orgue de Martin et Joseph Rinckenbach est pour moi un coup dur porté à notre patrimoine ; elle est très préoccupante pour l'avenir, car elle montre à quel point les mentalités d'il y a 30-40 ans n'ont pas changé... On continue à détruire notre héritage commun pour faire plaisir à une minorité. Je regrette profondément que les personnes ayant avec courage donné l'alerte à temps n'ont pas été entendues, et que l'irréparable ait depuis été commis.Essai de reconstitution du buffet Callinet de 1834.
Note : j'ai effectué ce photo-montage bien AVANT d'avoir appris le sort qui allait être réservé à l'orgue Martin et Joseph Rinckenbach. Cette image a depuis été utilisée ailleurs pour promouvoir le nouvel orgue, fait qui m'oblige à clarifier ma position, puisqu'on pourrait être amené à croire que je cautionne par là ce qui a été commis à Mulhouse en 2010. Ce n'est pas le cas ; l'image a été "récupérée" à mon insu. La perte de l'orgue de Martin et Joseph Rinckenbach est pour moi un coup dur porté à notre patrimoine ; elle est très préoccupante pour l'avenir, car elle montre à quel point les mentalités d'il y a 30-40 ans n'ont pas changé... On continue à détruire notre héritage commun pour faire plaisir à une minorité. Je regrette profondément que les personnes ayant avec courage donné l'alerte à temps n'ont pas été entendues, et que l'irréparable ait depuis été commis.
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Historique

En 1912, l'église Ste-Marie-Auxiliatrice de Mulhouse reçut ce qui avait probablement été l'un des chefs d'oeuvre les plus marquants de l'orgue alsacien, toutes périodes confondues : l'opus 126 de Martin et Joseph Rinckenbach. [IHOA] [ITOA] [HOIE] [Barth]

Avec 39 jeux (40 selon les sources, mais il y avait un tremblant) sur 3 manuels et pédale, cet orgue symphonique était le digne héritier de la tradition romantique française. Pour preuve, sa magnifique console "en amphithéâtre", construite sur le modèle de Paris, St-Sulpice.

Le marché fut signé le 01/05/1911 (on célèbre encore la date aujourd'hui) : Mulhouse allait se doter d'un orgue d'exception ! La composition relevée en 1947, était conforme (sauf détails) au devis du 10/02/1910 (une seconde version, décrivant un orgue neuf, d'un premier devis "de réparation" daté du 20/12/1908). Elle est donc fort probablement l'originale :

[MulhouseMarieCCTP]

Il est à noter que, évidemment, les basses de la plupart des jeux Rinckenbach étaient constitués de tuyaux anciens : cette pratique était quasi générale et tout à fait naturelle. D'ailleurs, ce n'est pas parce que des tuyaux ont été faits avec du bois ancien qu'il sonnent comme les vieux : ils ont bien sûr été complètement réharmonisés. A l'époque - fin du 19ème, début 20ème - on avait une *réelle* conscience écologique des choses. Enfin, l'étude de l'état en 1947 indique qu'il y eut encore moins d'éléments Callinet "repris" qu'initialement prévu.

Cet instrument ne devait avoir qu'un défaut, qui devrait plus tard lui coûter son existence : on le plaça dans le buffet Callinet. Mais celui-ci ne pouvait à l'évidence pas accueillir tous ces jeux de 8 et 16 pieds, et il fallut l'élargir, au moyen de deux plates-faces latérales. Le résultat visuel devait choquer les "puristes". Le positif de dos, bien sûr, resta postiche.

Les tuyaux de façade (Callinet ?) ont été réquisitionnés par les autorités allemandes en mars 1917. [IHOA]

C'est fort probablement Joseph Rinckenbach lui-même qui remplaça les tuyaux réquisitionnés, dès 1921. [MulhouseMarieCCTP]

En 1927 Georges Schwenkedel fit des travaux à la transmission, essentiellement dus au fait que Rinckenbach avait utilisé de l'étoffe caoutchoutée pour les membranes (sans en connaître les problèmes de vieillissement prématuré). Schwenkedel électrifia la soufflerie en 1931, puis a probablement ajouté une Voix humaine en 1936. [MulhouseMarieCCTP]

En 1953, on confia à Georges Schwenkedel la réalisation de sommiers à pistons commandés électriquement, et un changement de composition pour la mettre au goût "néo-classique". [ITOA]

La traction pneumatique, pourtant si efficace lorsqu'elle est bien réglée, était passée de mode (elle le resta longtemps). 5 jeux furent remplacés dans une absurde tentative de rendre ce pauvre instrument "apte à tout jouer" : la Gambe du grand-orgue fut remplacée par une Cymbale, le Quintaton et l'Unda-maris du positif par une Sesquialtera et une Doublette, la Clarinette étant transformée en Cromorne, et le Plein du récit chamboulé en une "progression harmonique" 2-5 rangs. Un Prestant fut ajouté à la pédale. Et pourtant, l'orgue ne devait toujours pas être l'idéal pour jouer Grigny. Mais le plus grave était bien sûr la transformation des sommiers pneumatiques de Joseph Rinckenbach. Quant à la magnifique console en amphithéâtre, reliée à des fils électriques, elle avait perdu toute noblesse !

Mais Schwenkedel, comme à son habitude respectueux de ses prédécesseurs, laissa la plaque d'adresse "Opus 126" de Rinckenbach.

Les travaux Schwenkedel furent inaugurés en juillet 1953 par Maurice Duruflé. [MulhouseMarieCCTP]

En 1983, Christian Guerrier releva l'instrument, qui put encore rendre quelques années de service. Mais le plafond au-dessus de lui s'affaissa. [ITOA] [WebESMM]

En 1986 débutèrent des travaux à l'édifice, et cette fois des gravats tombèrent dans l'orgue. Un expert s'empressa de décréter les sommiers "irrécupérables". Le buffet, la tuyauterie et la célèbre console furent confiés à la maison Daniel Kern, qui les entreposa (et en prit visiblement grand soin, Daniel Kern fit un inventaire minutieux en 2004). [ITOA] [MulhouseMarieCCTP]

A son démontage, l'instrument disposait de 40 jeux, dont 35 d'origine, toujours appelés par tirants à porcelaines situés dans cette magnifique console "alla St-Sulpice".

On fit alors usage à Ste-Marie-Auxiliatrice d'un orgue de choeur.

Quant à l'orgue Rinckenbach, on retrouve sa trace en 2006... dans les caves du centre funéraire de Mulhouse. Sombre présage. En plus, tout inventaire sérieux y était impossible : le dernier inventaire datait de 2004, avant le "déménagement". [MulhouseMarieCCTP]

La célèbre console Rinckenbach "en amphithéâtre".La célèbre console Rinckenbach "en amphithéâtre".
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Le projet de 2010
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Historique

Le projet de construction d'un orgue neuf "simili-Callinet" pour Ste-Marie-Auxiliatrice a conduit à un appel d'offres, présenté en 2010 (et attribué). Il était sans équivoque : "Travaux de reconstruction de l'orgue Callinet de l'église Sainte Marie à Mulhouse". Sur 2 claviers (le troisième étant "en option"). [WebESMM]

Mais comme on ne dispose de cet orgue Callinet qu'une partie du buffet (modifié, et sans soubassement, disparu depuis), plus aucun tuyau non modifié, ni élément de sommier, et même pas sa composition, le terme "reconstruction" laisse perplexe...

Le projet fut suspendu en octobre 2010, grâce aux nombreuses voix qui surent s'élever pour tenter d'éviter la catastrophe annoncée.

Car le projet "depuis longtemps décidé" laissait dans l'ombre le plus important (du point de vue du patrimoine) : parce qu'il occupait le buffet d'un orgue Callinet, l'opus 126 de Martin et Joseph Rinckenbach serait donc définitivement perdu. Et l'école symphonique française, déjà tellement affaiblie par l'interminable intégrisme Néo-baroque, allait être un peu plus orpheline. Onze jeux romantiques devaient rester "au chômage" (on sait ce que ça veut dire à terme). Tout comme la console, qui entre temps, est devenue une vraie légende.

L'espoir fut de courte durée, et la suite fut une longue et pénible galerie de travers humains. En fait, il s'agissait probablement, dans cet affaire, avant tout de confirmer la toute-puissance de l'Expert sur le "petit peuple" qui ose demander des comptes. De ce point de vue, superbe victoire de l' "establishment". Sauf que... on peut imaginer l'image que donne le monde de l'orgue au grand-public au cours de ces noirs épisodes. On peut imaginer ce que ressentent les gens qui ont fait un don (ou payé des impôts) en contemplant cet affligeant spectacle. Alors que tout cela pourrait être évité avec un peu de concertation, et surtout en prenant le temps, avant de commettre des erreurs irréparables, d'écouter ceux qui appellent au secours, au lieu de leur témoigner un pareil mépris.

Rappelons, à ce sujet, que ce ne sont pas les facteurs qui sont à blâmer : si l'un d'eux refuse de commettre ce genre de choses, il se trouvera un autre pour le faire à sa place : une fois que l'argent trompeur afflue, la "logique économique" triomphe toujours.

Après le désastre, on eut droit aux "justifications" caractéristiques de la prise de conscience d'une terrible erreur. Mais plutôt que de chercher à apaiser, Caecilia - qui doit aimer la polémique - (2013-03) verse encore de l'huile sur le feu, ajoutant une bonne dose d'amertume dans le coeur de ceux qui avaient vainement essayé de protéger notre patrimoine.

Nous voici privés d'une grande figure de l'orgue alsacien : l'opus 126 de Martin et Joseph Rinckenbach. C'était un orgue merveilleux : on le sait quand on a eu la joie de jouer quelques uns de ses contemporains. Il manquait depuis longtemps. Il manquera désormais pour toujours : il n'est même plus permis de rêver à son retour. Le problème, quand on prononce une Peine Capitale, c'est qu'on ne peut pas revenir en arrière. Ce sera l'Histoire le juge ultime.

Le buffet

Le buffet, en chêne, de 6 mètres de haut, est de style Mollau / Oltingue / Eguisheim (plus Mollau qu'Oltingue, d'ailleurs, avec ses petites plates-faces au positif).

Le grand buffet a 4 tourelles, les deux grandes aux extrémités, et 3 plates-faces, les médianes effectuant un "décrochage" caractéristique. Positif de dos à 3 tourelles, la plus petite au centre, les plates-faces présentant le même décrochage.

Ce buffet revendique son style "19ème" en présentant un soubassement de même largeur que la superstructure. S'il est dépourvu des somptueuses ornementations que l'on trouve à Bettlach, est tout de même richement doté : les culots des quatre tourelles du grand-orgue portent chacun un angelot (il y en a généralement deux sur les grands "quatre tourelles" de la production Callinet, et il n'y en a pas à Mollau). Les frises crénelées et la mise en dorure des draperies sont à rapprocher de l'ornementation d'Hagenbach. Les frises de ceinture, au motif oves/dards sont plus communes. Des pots à fleurs ornent les tourelles du positif et les deux petites du grand-orgue. Chaque tourelle est munie d'une draperie à pompon. Les angelots, mais aussi claires-voies des plates faces aux motifs floraux, figurant des roses, sont caractéristiques des Callinet. Rappelons que l'expression des angelots change entre les différents orgues Callinet. (Joyeux - comme à Ste-Croix-aux-Mines - ou tristes. Au rythme des joies et des peines de la famille ?). A Mulhouse ils étaient plutôt joufflus : peut-être l'indicateur d'une certaine prospérité ? Aujourd'hui, ils doivent être si tristes, en voyant comment les "humains qui décident" méprisent les humains qui ne font qu'aimer.

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