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Les orgues de la région de Ribeauvillé
Bergheim, église de la Vierge Marie
Bergheim, le buffet Wetzel avec ses sculptures de 1740.Photo de Roland Lopes (comme toutes celles de la page), 10/07/2004.Bergheim, le buffet Wetzel avec ses sculptures de 1740.
Photo de Roland Lopes (comme toutes celles de la page), 10/07/2004.

L'histoire des orgues de Bergheim est particulièrement riche, puisque selon Médard Barth, cette localité fut la 34ème en Alsace à se doter d'un orgue. Il y a des orgues à Bergheim depuis la première moitié du 16ème siècle. De fait, certaines parties de l'édifice (choeur) remontent au 14ème siècle ; on y trouve des peintures médiévales redécouvertes au siècle dernier. Retraçons donc l'histoire des orgues de cet endroit remarquable.

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L'orgue de facteur inconnu (1549)
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Historique

Un orgue est attesté à Bergheim dès 1549. [IHOA] [ITOA] [Barth] [AOBergheim]

C'est le curé Eugène Hans, dans son "Urkundenbuch des Pfarrei Bergheim" (Strasbourg, 1894), qui rapporte la présence d'un organiste (p.278) en 1549. Celle d'un souffleur est à nouveau attestée (bien sûr par le payement de son salaire) en 1582.

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L'orgue Anton Meutting,
1600
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Historique

En 1600, instrument fut renouvelé, probablement par Anton Meutting, d'Augsbourg. [IHOA] [ITOA] [Barth] [AOBergheim]

Il ne s'agit que d'une hypothèse. Pie Meyer-Siat est moins affirmatif que l'Inventaire technique : l'auteur de cet instrument aurait pu être Hans Werner Mudderer (Freiburg), Hans Huodt, Hans Ott (Haguenau) ou Anton Meutting (Augsbourg). Ott fut éliminé car on ne trouve trace de ses activités qu'à partir de 1616. Par contre, celles de Meutting sont nombreuses entre 1590 et 1602. De plus, il a construit l'orgue de Munster, localité pas très éloignée. [AOBergheim]

En 1719, l'orgue fut réparé par l'organiste/facteur Franz Joseph Beyer. [IHOA] [AOBergheim]

En 1728 (et/ou 1732), Daniel Cräner (de Ribeauvillé) fit probablement un peu plus que des réparations, puisque l'on parle d' "Ausbesserung" (amélioration). [AOBergheim]

Le 23/09/1749, l'orgue fut vendu, puis déménagé à St-Jacques Majeur de Hunawihr. [IHOA] [AOBergheim]

C'est l'instituteur-organiste de Hunawihr, André Wollschlegel qui acheta l'instrument. Là-bas, l'orgue disparut en 1765, quand Jacque Besançon posa l'orgue actuel. [AOBergheim]

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L'orgue Jodoc Von Esch,
1740
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Historique

Le Nancéen Jodoc Von Esch construisit en 1740 le troisième orgue de Bergheim. [IHOA] [ITOA] [AOBergheim] [ArchSilb]

C'est Jean-André Silbermann qui nous renseigne, à la fois sur Jean Jodoc Von Esch et l'orgue de Bergheim (ou plutôt d' "Oberbergheim"). En effet, l'instrument était très voisin de celui de Munster, originellement destiné à Ste-Croix-en-Plaine. [ArchSilb]

Composition, Munster
Grand-Orgue, 48 n. (CD-c''')
5 rgs (D)
Probablement 3 rgs
probablement 2 rgs
Positif de dos, 48 n. (CD-c''')
Pédale
Probablement 8'
Probablement 8', appelée ainsi en raison du ravalement GG AA HH
[ArchSilb]

Cette composition se distinguait donc par une doublure en 2' au grand-orgue : à la fois une Doublette (Principal) et une Quarte de nasard (Flûte). La pédale, de 2 octaves, était munie d'un ravalement qui jouait le Sol, La et Si en 16' (GG AA HH).

Le buffet disposait de 3 tourelles au grand corps (la plus petite au centre ; comme celui de Rosières-aux-Salines avant sa transformation), et deux pour le positif de dos. Jean-André Silbermann conserva dans ses archives un croquis du buffet. [ArchSilb] [AOBergheim] [IOLMM]

Ce n'est pas si courant. Pour se faire une idée, l'instrument devait avoir un air de famille avec ceux d'Hattstatt (avec des ornements plus "rocaille") ou d'Ohnenheim (mais avec des couronnements sur toutes les tourelles).

En 1749, Casimir Kühlwein vint nettoyer l'orgue et réparer la soufflerie. [IHOA] [ITOA] [AOBergheim]

Ces travaux ont été reçus par le maître d'école de Ribeauvillé, nommé Geiger. [AOBergheim]

En 1754, ce fut au tour de Nicolas Boulay de venir travailler sur l'orgue de Bergheim. [IHOA] [ITOA] [Barth] [AOBergheim]

Il est probable qu'il soit l'auteur du passage à trois manuels, par ajout d'un dessus d'écho. C'est à nouveau Geiger qui reçut ce travail (en deux fois). On connaît le nom de l'organiste en 1756 : c'est Joseph Adam (originaire de Kientzheim) ; à partir de 1776, c'est Jean-Baptiste Bressler. [AOBergheim]

En 1777 fut conclu un accord avec Christian Langes, pour une réparation à la soufflerie et aux tremblants. [IHOA] [ITOA] [AOBergheim]

En 1817, on fit faire des devis, car l'orgue, après avoir passé la Révolution, devait avoir besoin d'une bonne cure de jouvence. Un des devis fut signé par Zimmermann Heitzmann, et l'autre par François Callinet. C'est ce dernier qui eut le marché. [IHOA] [ITOA] [AOBergheim]

Le travail était d'envergure, et l'orgue ancien visiblement en piteux état et affublé de problèmes de conception. Voici la composition que trouve Callinet, déduite de son devis et du fait qu'il fallait 68 tuyaux pour compléter les claviers pour les faire aller jusqu'au Ré (cis'''-d''') :

Ce que trouva Callinet est donc tout à fait compatible avec l'hypothèse de base, a savoir que les orgues Von Esch de Bergheim et de Munster étaient jumeaux. On avait tout simplement ajouté en dessus d'écho (en y installant la Voix humaine) et restructuré la pédale qui était un peu trop atypique.

C'est parce que Callinet précise qu'il faut 64 tuyaux pour compléter les manuels de deux notes aigües que l'on peut retrouver le nombre de rangs de la Fourniture du positif : il en fallait deux fois 17 pour le grand-orgue (10 jeux, +4 car le Cornet était à 5 rangs et +3 car la Fourniture était à 4 rangs), deux fois 6 pour l'écho, et il en restait 18 pour le positif, soit 9 par note. Comme il y avait 7 jeux, cela porte la Fourniture à 3 rangs.

François Callinet, en bon facteur français - et encore peu adapté aux spécificités alsaciennes - proposa de "rapetisser" la pédale (i.e., probablement, de la mettre aux standards français !). Outre la correction de défauts de conception et un bon relevage, Callinet proposait d'ajouter un Bourdon 16' au grand-orgue (première octave en 8'), ainsi qu'un Clairon 4' et une "Flûte 8'" qui devait en fait être sa fameuse Flûte 4'8'. Il proposait aussi de placer une Bombarde 16' à la pédale. Les travaux furent approuvés le 01/05/1816 par le père Mertian, et achevés en 1817. Voici donc une reconstitution de la composition après 1817 :

Composition, Callinet
Grand-Orgue, 48 n. (CD-c''')
C-H en 8'
Probablement CD-h en 4', bouché, et c'-c''' ouvert, en 8'
(a-c''')
140 tuyaux
144 tuyaux=3 x CD-c'''
96 tuyaux
Positif de dos, 48 n. (CD-c''')
Echo, 25? n. (c-c''')
Pédale, 24? n. (CD-c')
Ouverte
[AOBergheim]

En 1868, il y eut un devis rédigé par Emile Wetzel. [IHOA] [ITOA] [ITOA] [PMSRHW]

Il n'est pas certain que ce devis vint à exécution, mais il confirme les données techniques sur l'orgue Von Esch/Callinet. En particulier une "Flûte 4'" au grand-orgue renforce l'hypothèse de la fameuse Flûte 4'8', et les prix annoncés pour les réparations à l'écho confirment bien qu'il ne s'agit que d'un dessus. [AOBergheim]

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Historique

En 1879, Emile Wetzel, alors installé à Bergheim, construisit un orgue neuf, en ne gardant de l'instrument de Von Esch que les ornements du buffet. L'accord fut signé le 23/11/1876, et ce fut donc un chantier plutôt long. La (première) réception eut lieu le 31/03/1879 par François Xavier Rueher. [IHOA] [ITOA] [PMSRHW] [Barth] [AOBergheim]

On a vu que le buffet de Von Esch avait une structure différente. Dans une lettre au ton plutôt irrité, l'architecte Winkler se plaint de la disparition du buffet "Louis XV" (de Von Esch) et du fait que le nouveau n'ait "aucune valeur artistique". C'est vrai que les buffets avec positif de dos et "look 18ème" étaient complètement passés de mode, à moins d'être authentiques. Du coup, l'architecte reproche d'avoir utilisé des ornements anciens... [AOBergheim]

François Xavier Rueher n'était pas d'accord avec les quelques "économies" qui avaient été décidées dans le devis initial. Par exemple la Montre devait avoir quelques tuyaux en bois dans les basses, et le Bourdon 16' ne devait commencer au premier Sol. Mais Rueher voulait absolument une Montre tout en étain, un Bourdon complet, et aussi une Flûte 8' au positif (de dos !), un Nasard pour le grand-orgue, et une Flûte à cheminée 4' pour le récit. Qu'à cela ne tienne, on allait le passer en "plus value" ; le souci, c'est que le maître d'ouvrage n'avait pas validé ce surcoût, qui dépassait tout de même 6% de la commande initiale ! De fait, en plus des adjonctions souhaitées par Rueher et qui "se voyaient", il avait aussi fallu re-dimentionner toute l'alimentation en vent. Autre conséquence inattendue (probablement due à la Flûte 8' au positif) : le positif de dos fut muni de trois tourelles (une petite au milieu). Mais Wetzel eut bien sûr toutes les peines du monde à se faire payer. [AOBergheim]

Etait-ce la cause de la probable "brouille" (en tous ces des relations plutôt froides) entre Emile Wetzel et la commune où il était installé ? Nul n'est prophète en son pays, mais d'autres facteurs d'orgues avaient su devenir des "notables" de leurs commune (Joseph Callinet par exemple). Toujours est-il que rapidement, Wetzel ne s'intéressa plus beaucoup ni à Bergheim, ni au seul orgue neuf de sa production.

Voici la composition de l'orgue Wetzel de Bergheim, incluant les caprices de Rueher :

Wetzel reste donc fidèle à la coupure basse+dessus des anches manuelles (sauf au positif). Il propose ces deux "Gembshorn" - en mélange ("Metall"), pas en étain - un en 8' au grand-orgue, l'autre en 4' au positif. En fait, à l'époque, on appelait plutôt "Jeu céleste" le Salicional 4'. (L'appellation "Voix céleste" était réservée à l'ondulant (sans octave grave) qui s'adosse à la Gambe et produit cet effet si caractéristique de l'Orgue romantique.) C'est l'une des seules fois où l'on voit désigner sous "Jeu céleste" ce qui en fait est une Flûte pointue.

Au début du 20ème siècle, le buffet, donc la façade de l'orgue Wetzel, étaient attribués à... Silbermann. C'est Eugène Hans, le curé (et historien) du lieu qui l'attestait. Du coup, on 1917, la Montre fut épargnée lors de la réquisition des tuyaux de façade (car elle avait du coup un "intérêt historique"), et l'orgue de Bergheim resta doté d'une Montre Wetzel authentique ! Par contre, la partie instrumentale ne donnait pas satisfaction. Et Hans s'en plaignait : "Orgel missklingend und teilweise stumm" ("L'orgue sonne mal et il est en partie muet"). L'orgue Emile Wetzel n'était donc pas une réussite. Il manquait sûrement quelque chose pour que la "sauce prenne". Et ce quelque chose s'appelait sûrement Charles. [AOBergheim]

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Historique

En 1903, on demanda à Martin et Joseph Rinckenbach de renouveler la partie instrumentale. [IHOA] [ITOA] [Barth]

Une bonne partie de la tuyauterie de Wetzel fut reprise pour réaliser le nouvel orgue, mais bien entendu réharmonisée. Le positif de dos était bien évidemment postiche (réduit à une seule façade) puisqu'il y avait un récit. C'était l'Opus 74 de la maison d'Ammerschwihr, et ce devait cette fois être un très bel instrument : en ce début du siècle, aucune concession ne devait encore être faite en raison des limitations d'approvisionnement dues à la guerre, et la transmission pneumatique était parfaitement maîtrisée. La composition affirme une esthétique résolument "post-romantique", caractéristique de cet âge d'or de l'Orgue alsacien. Il possédait à la fois des traits "germaniques" : Trompette au grand-orgue et non au récit, Cornet au grand-orgue, pédale particulièrement fournie et des couleurs "Cavaillé-Coll" : Flûte harmonique au récit. Avec 7 jeux, la pédale, s'il n'y avait la Trompette 8', aurait pu figurer dans la composition d'un orgue des années 20 ou 30. La seconde anche du récit était une Clarinette et non une Voix humaine, aux couleurs plus "symphoniques". L'orgue Rinckenbach de Bergheim était contemporain de ceux de Romanswiller ou de Niederhaslach.

L'orgue a été relevé en 1973 (en fait 71 et 73) par Alfred Kern. [ITOA]

Contrairement à ce qui se passa en de nombreux endroits, en cette période de "baroquisations", Bergheim respecta son orgue symphonique, et ce fut un travail très respectueux que mena Alfred Kern. Il ajouta juste des annulateurs d'Anches (un par plan sonore). C'est donc pratiquement dans son état de 1903 que l'inventaire de 1986 trouva l'instrument.

Le 12/02/2004, dans un excellent article des "Dernières Nouvelles d'Alsace" (de qualité incomparablement supérieure aux standards habituels), on pouvait lire : "Figurant parmi les rares exemplaires d'orgue Rinckenbach de la période 1900-1914 à ne pas avoir été transformé, cet instrument fera l'objet de travaux qui sont prévus au cours du second semestre 2005" (suit un historique de l'orgue remarquablement bien fait, qui se conclut fort justement sur "Un instrument qui n'a donc subi aucune modification depuis 1903.") Tout laisait donc croire qu'il y avait lieu d'être optimiste, et que l'orgue Rinckenbach, dont on connaissait la valeur, allait bénéficier d'un respectueux relevage, comme il le méritait.

Caractéristiques instrumentales

Console:

Console frontale, accolée. Tirants de jeux à pastilles inclinées. Commande de l'expression du récit par pédale à bascule.

Transmission:

pneumatique.

Sommiers:

à membranes.

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L'orgue Michel Gaillard,
2006 (instrument actuel)
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Historique

En 2006, Michel Gaillard reconstruisit l'orgue, sur trois manuel et pédale, (avec positif de dos et dans l'esprit néo-classique). Le buffet a été décapé par une équipe de volontaires, menée par Guy Ferber et Tharcisse Ederlé. [PRolli] [RLopes]

L'orgue a été béni le 14/05/2006, et inauguré le week-end du 1er et 2 Juin 2007 : 01/06/2007 : le matin, visite de l'orgue par les élèves de l'école, l'après-midi, visite de l'orgue ouverte au public, le soir, récital d'orgue de Michel Chapuis. 02/06/2007 : grand-messe animée par plusieurs chorales, et concert d'orgue, avec Jean-Louis Thomas, accompagné par Guy Ferber, René Mazé, Emmanuel Alemany et Chrisztian Kowatz (trompettes) et Rhomas Holzinger (timbales). [PRolli]

Caractéristiques instrumentales

Tuyauterie:

Mise au tempérament de Young.

Sites (Jean) Jodoc Von Esch (31/01/1692 - 1743)

L'orgue de Bergheim posé en 1740 était l'un des trois instruments que Jean Jodoc Von Esch (il signait plutôt "Vonèsche", mais c'est l'orthographe de Silbermann que le monde de l'Orgue retint...) vint poser en Alsace. Les autres se trouvaient à Oberhergheim (1739) et Munster (1739). Ce dernier instrument était originellement destiné à Ste-Croix-en-Plaine, où Jean, le père de Jodoc, était organiste ("ludimoderator"). Car Jean Jodoc ne s'était installé à Nancy qu'après sa formation. L'instrument qu'il posa à Wihr-au-Val (aussi en 1739 !) n'était pas de lui, mais de Hans Jacob Aebi (construit pour Munster en 1660). En 1734, Jean Jodoc avait réparé l'orgue Delorme de Sarre-Union.

D'autres membres de la famille étaient actifs dans le milieu de l'Orgue : Jean-Baptiste Von Esch (1717-1784) était organiste à Unterlinden, le prébendier ("Caplan") Michel (?-1777) était organiste et agissait comme expert. On trouve à Colmar un autre Von Esch encore plus tard, en 1827 : il reçut l'orgue Joseph Chaxel de Bischwiller, St-Augustin.

Sites Emile Wetzel à Bergheim

Emile Wetzel s'était établit à Bergheim en 1874, après la fin de son association avec son frère Charles, qui avait duré 10 ans (le dernier "Wetzel frères" est probablement celui de Rauwiller, 1876). A Bergheim, c'est au "facteur local" qu'on s'était tout naturellement adressé, en 1879, pour reconstruire l'orgue. Mais ce ne fut malheureusement pas un succès, ni pour Wetzel, ni pour sa commune, avec laquelle il resta visiblement en froid. La raison est probablement qu'à la réception de l'instrument l'organiste chargé de l'évaluer, au lieu de confronter la réalisation au devis, fit surtout état de ses propres desiderata, ignorant les dispositions du marché conclu. Wetzel, peut-être trop en confiance, réalisa les importantes adjonctions souhaitées par François Xavier Rueher, mais sans approbation expresse du maître d'ouvrage. Grave erreur... Il dut "escalader" pour se faire payer, et ce ne fut à l'évidence pas très bon pour les relations.

Son orgue de Bergheim fut donc finalement le seul instrument neuf construit par Emile sans son frère. La mort de son fils cadet, Emile Louis (1866-1891) à l'âge de 25 ans seulement (il est peut-être l'auteur de l'inscription dans l'orgue de Krautwiller), lui aussi facteur d'orgues et successeur pressenti, semble avoir anéanti Emile Wetzel. Il vécut d'accordages et de menues réparations, et mourut à Bergheim en 1910.

Ce n'était pas la fin de la dynastie Wetzel, car Charles, puis son fils Edgard, firent que l'on vit encore construire des orgues Wetzel jusqu'en 1938.

Références Sources et bibliographie :

Carte Localisation :

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Immatriculation de l'orgue actuel : F680028001P06
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