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Les orgues de la région de Colmar
Colmar, St-Joseph
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Colmar, St-Joseph, le buffet Théophile Klem de l'orgue Weigle. Toutes les photos de l'orgue sont de Roland Lopes, 06/2006.Colmar, St-Joseph, le buffet Théophile Klem de l'orgue Weigle.
Toutes les photos de l'orgue sont de Roland Lopes, 06/2006.

Voici un certain aboutissement de "l'orgue à tout jouer", comme il était conçu à l'époque néo-classique (première moitié du 20 ème siècle), mais aussi jusque dans les années 1960. Sur la base d'un orgue romantique de Weigle, posé en 1900, la maison Schwenkedel a réalisé une grande machine polyvalente, avec des claviers de 5 octaves et des jeux venant un peu de toutes les esthétiques.

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L'orgue Weigle,
1900 (instrument actuel)
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Historique

C'est immédiatement après l'achèvement de l'édifice, en 1900, que fut installé un orgue Friedrich I Weigle, de style romantique allemand, comme il se devait. L'inauguration eut lieu le 10/07/1900. [IHOA] [ITOA]

La maison Weigle, de Stuttgart, avait déjà réalisé les orgues des temples protestants de St-Louis (1886) et Haguenau (1895). L'orgue de Colmar est contemporain du plus célèbre Weigle d'Alsace, celui de Strasbourg, St-Maurice, celui là même qui provoqua la polémique entre Emile Rupp et Adolphe Gessner, et fut le déclencheur à la Réforme alsacienne de l'orgue.

Composition, 1900
Grand-orgue
3-5 rgs ?
Positif
Probablement C-c 3 rgs, cis-gis 4rgs, puis 5
Récit expressif
Pédale, 27 n. (C-d')
Harmonica 16'
[IHOA] [PArmand]

Il contenait, parait-il, 2322 tuyaux. Cela parait un peu peu (et avec un Cornett 8' analogue à celui de Strasbourg), même pour des claviers de 54 notes, ce qui tend à faire croire que les progressions de la Mixture du grand-orgue intervenaient plutôt loin dans les aigüs.
Les jeux de fonds à bouche double étaient une spécificité de Weigle. Il y en a ici un bouché (au grand-orgue), et un ouvert (au positif). La Mixture contenait peut-être, comme à Strasbourg, des harmoniques en Septièmes.

Les tuyaux de façade furent réquisitionnés par les autorités allemandes en avril 1917. [IHOA]

La masse de 204 kg donnée pour ces tuyaux paraît toutefois bien petite vu la taille de l'instrument.

Ils ont été remplacés par la maison Edmond-Alexandre Roethinger en 1920. [IHOA]

De 1958 à 1959, l'instrument a été transformé par la maison Schwenkedel. [IHOA] [ITOA]

Cette transformation fut "vigoureuse", puisque la composition a été fortement remaniée dans le sens de plus de polyvalence. La composition d'origine (sans Trompette au récit par exemple), ne devait pas satisfaire beaucoup de monde en 1959. Une batterie d'anches complète fut donc installée au récit. La deuxième modification d'importance concerne les Mutations et Mixtures, qui ont été totalement revues, avec une Sesquialtera au grand-orgue, et un grand Jeu de tierce complet (7 rangs) au positif. Malheureusement, les beaux 8 pieds romantiques eurent à faire les frais de cet encombrant dispositif couvrant 5 chapes de petits tuyaux... De 5 fonds de 8 pieds, on passa à 2. Le récit reçut une anachronique "Scharf" (Mixture aigüe). Enfin, la pédale fut dotée de 4 pieds (Prestant et Clairon). Au final, ce furent les jeux gambés qui firent les frais de l'opération.

Heureusement, Schwenkedel n'a pas remplacé les sommiers Weigle : ils ont été électrifiés et munis de compléments électropneumatiques pour les dessus (portant l'étendue à 61/32 notes), ainsi que pour la Voix humaine du Récit (qui est placée hors boîte dans un petit caisson avec jalousie spécifique) et le Clairon 4 de pédale. [PArmand]

L'ancienne console, de Schwenkedel, avec ses "langues de chat".L'ancienne console, de Schwenkedel, avec ses "langues de chat".

En 1987, l'orgue a été relevé par Pierre Bois (Colmar). [IHOA]

En 1995, Richard Dott répara les relais électriques de transmission. [IHOA]

En 2010, la maison Muhleisen effectua une réparation d'envergure: [Muhleisen]

Sous la maîtrise d'ouvrage de la ville de Colmar et la maîtrise d'oeuvre de Christian Lutz :

- Transmission électronique entièrement neuve ; combinateur "ELTEC automazioni".

- Importants travaux à la console, dont recâblage, contacts (en fait : capteurs à effet Hall) et commandes ; suppression des deux combinaisons libres et des cinq combinaisons fixes. Ajout d'accouplements à l’octave grave.

- Les sommiers Weigle on été relevés (repeaussage) et ceux de Schwenkedel révisés.

- Révision des éléments pneumatiques.

- Sécurisation de la partie électrique.

- Révision et réparation de l'alimentation en vent et de son transport.

- Le buffet a été nettoyé, traité, et la boîte expressive étanchéifiée.

- La tuyauterie a été déposée et nettoyée. La Soubasse a nécessité le réajustement des tampons. Reconstruction et réharmonisation de la Trompette 8' du grand-orgue (pavillons neufs en étain) (l'ancienne était en cuivre).

- Egalisation et accord, le diapason et le tempérament restant inchangés.

L'orgue a été inauguré le 23/01/2010 par Pascal Reber.

Il faut se souvenir que Colmar St-Joseph, c'est aussi, dans le coeur des organistes alsaciens, la tribune du regretté Edouard Andrès. Avant lui, et pendant plusieurs dizaines d'années, c'est Albert Gasché qui avait tenu cette prestigieuse tribune alsacienne.

Le buffet

Le buffet, un chef d'oeuvre du style néo-gothique, a été construit en 1900 par Théophile Klem, ce qui n'est pas étonnant, puisque ses ateliers étaient situés dans le quartier St-Joseph depuis presque 30 ans.

L'imposante mais élancée boiserie est à deux étages dans la partie centrale. Quatre tourelles en tiers-point et en encorbellement rythment la façade. Les deux plates-faces latérales sont subdivisée horizontalement puis verticalement, le bas donnant une sorte de galerie. Les couronnements sont constitués de pinacles à crochets et de frontons ajourés d'oculus tétra-lobés. L'ornementation est complétée par des jouées ajourées et une frise courant le long de la ceinture du buffet.

Caractéristiques instrumentales

Console:

Console indépendante placée orthogonalement au buffet, de Schwenkedel (1959) et Muhleisen (2010), électronique. Tirage des jeux électrique par boutons avec voyants rouges. Ecran du combinateur en position centrale au-dessus des claviers.

Transmission:

des électro-aimants tirent directement les pistons.

Sommiers:

de Weigle (électrifiés en 1958), compléments de Schwenkedel.

Sites La maison Klem

Parmi les entreprises spécialisées dans le mobilier religieux, la maison Klem a laissé une empreinte toute particulière. Elle a apporté une contribution immense au patrimoine religieux du 19ème et du début du 20ème siècle.

Jean-Baptiste Klem

Le fondateur de la maison n'est pas le plus célèbre : issu d'une famille de Souabe, Jean-Baptiste Klem (1816-1863) s'installa en Alsace, d'abord à Kembs, puis à Colmar entre 1846 et 1848. En cette époque artistiquement féconde, se développait le style néo-classique, recherchant et associant des éléments de langage architectural médiévaux (romans ou gothiques). Lorsque le mélange est prononcé, pouvant aussi associer des éléments byzantins, on parle parfois de style éclectique. Cela concernait autant l'architecture que le mobilier. Jean-Baptise Klem, qui maîtrisait à la fois le stuc (par exemple à Turckheim) et l'ébénisterie s'aperçut vite de l'immense marché offert par le mobilier religieux. [SteOdile2012] [Palissy]

Voici quelques travaux de la période 1845-1863 :

- Turckheim, 1845, chaire et autels secondaires en stuc de Jean-Baptiste Klem, alors installé à Kembs.

La chaire de TurckheimPhoto Creative Commons, de Rh-67.La chaire de Turckheim
Photo Creative Commons, de Rh-67.

- Soultz-Haut-Rhin, 1857, mobilier néo-gothique. Le mobilier précédent sera déménagé à Richwiller en 1879. Théophile, le fils de Jean-Baptiste, reviendra à Soultz en 1903.

- Ranspach, 1860, mobilier de l'église St-Antoine de Padoue et buffet pour l'orgue Merklin. En effet, la vente des orgues "parisiens" s'entendait "sans buffet" (ce qui n'était pas du tout dans les habitudes alsaciennes), il fallait donc trouver des solutions locales.

- Vieux-Ferrette, 1861, autel et gradin (dessin de l'architecte François Louis Laubser) ; en 1888 Théophile ajouta le retable doté de ses trois statues. [Palissy]

- Kaysersberg, 1862, Jean-Baptise Klem sculpte les 14 saints auxiliateurs ornant un autel aujourd'hui disparu ; ils seraient à présent au musée. 1858-1888 : mobilier de l'église Ste-Croix, le buffet de l'orgue date de 1720 (Joseph Waltrin). [Palissy]

- St-Amarin, 1862, autels secondaires par Jean-Baptiste Klem. En 1897, Théophile reviendra ici pour compléter le mobilier.

- Le Bonhomme, 1863, buffet pour l'orgue Merklin. C'est le buffet qu'on peut encore voir aujourd'hui, bien qu'il ait abrité deux orgues différents depuis. [Palissy]

- Moosch, 1863, fut (avec Ranspach) un des premiers lieux de culte d'Alsace à adopter le néo-gothique à la fois pour le mobilier et le buffet d'orgue (Claude-Ignace Callinet). Ce fut le dernier travail de Jean-Baptiste : sur ce chantier, il fut victime d'un accident qui finit par lui coûter la vie. [SteOdile2012]

Le buffet Jean-Baptiste Klem de l'orgue Claude-Ignace Callinet de Moosch.Le buffet Jean-Baptiste Klem de l'orgue Claude-Ignace Callinet de Moosch.

La transition

La veuve de Jean-Baptise s'efforça de perpétuer l'entreprise ; elle joua à la fois de chance et de malchance. Malchance parce que son gendre Weiss, sur lequel elle comptait, allait mourir dès 1868. Mais comme fils aîné, Alphonse Klem (1845-1899) était successeur "naturel", on put envoyer le cadet, Théophile, en formation à Vienne, chez Friedrich von Schmidt. [SteOdile2012]

Vienne, Beethovenplatz, l'intérieur du lycée, de Friedrich von Schmidt (réalisé entre 1863 et 1866).Photo Creative Commons, de Buchhändler.Vienne, Beethovenplatz, l'intérieur du lycée, de Friedrich von Schmidt (réalisé entre 1863 et 1866).
Photo Creative Commons, de Buchhändler.

- Urmatt, 1865, mobilier néo-gothique de l'église de la Ste-Croix.

- Willer-sur-Thur, 1865, un autre orgue Merklin placé dans un buffet de la maison Klem, qui fournit aussi le reste du mobilier de l'église St-Dizier.

Théophile Klem

Théophile (1849-1923) revint de Vienne, et sa formation là-bas s'avéra être extrêmement pertinente et fructueuse. Il se montra exceptionnellement doué et sut tirer parti de ce bagage technique et culturel. Revenu en Alsace, il s'associa à son frère, mais ce dernier préféra, dès 1872, monter une entreprise en France, à Maxéville (Nancy). Théophile déménagea ses ateliers colmariens rue des Moulins, à deux pas de l'actuelle église St-Joseph (pour laquelle il construira plus tard le buffet de l'orgue Weigle). Il connut un succès mérité, et collabora avec de grands peintres, tels Martin Feuerstein (Barr, 6 janvier 1856 - Munich, 13 février 1931), et de grands facteurs d'orgues (Joseph Merklin, Martin Rinckenbach). Klem travailla à nombreuses reprise hors Alsace, en Moselle, en Franche-Comté, à Berne (CH) (cathédrale), et jusqu'à Liège. [SteOdile2012]

- Grendelbruch, 1876; mobilier de l'église Sts-Philippe et Jacques. Le buffet date, lui, de 1836 : conçu pour l'ancien orgue Wegmann du lieu, son dessin est dû à l'architecte Charles Théodore Kuhlmann.

- Jettingen, 1877, mobilier de l'église du Sacré-coeur et buffet de l'orgue Jacob Zimmermann.

- Ribeauvillé, 1877, mobilier de l'église St-Grégoire-le-Grand (mais pas le buffet de l'orgue, évidemment).

La chaire de RibeauvilléPhoto Creative Commons, de Rh-67.La chaire de Ribeauvillé
Photo Creative Commons, de Rh-67.

- Saales, 1879, tribune et buffet, construits pour l'orgue Koulen.

- Obernai : le buffet pour l'orgue Merklin fut commandé à Théophile Klem, vers 1880. Au moment de passer commande à Klem, on accéda à la demande de l'organiste qui voulait un positif de dos (postiche) (dans l'imagerie populaire, un orgue digne de ce nom avait un petit buffet), mais en oubliant de commander cher Merklin les tuyaux de façade correspondants... A Obernai, Théophile Klem réalisa aussi les lambris du choeur, les autels (sauf le maître-autel), et les confessionnaux.

La chaire d'Obernai.La chaire d'Obernai.

- Selestat, vers 1880. L'actuelle église protestante (à l'époque couvent des Franciscains) reçut de Klem le mobilier, et sûrement le buffet de l'opus 3 Martin Rinckenbach. C'est donc probablement la première occurrence de la fructueuse collaboration entre Klem et Rinckenbach.

- Chavannes-sur-l'Etang, 1884, mobilier de l'église St-Matthieu. Pour le buffet néo-roman de l'orgue Martin Rinckenbach, l'attribution à Klem paraît peu probable.

- Magstatt-le-Bas, 1884, mobilier de l'église St-Michel, et buffet de l'orgue Martin Rinckenbach, 1890 (ainsi que sa tribune).

- Ballersdorf, 1886, buffet de l'orgue Martin Rinckenbach, et certainement le reste du mobilier de l'église St-Jean (les autels latéraux en particulier ; ...mais pas le mobilier de la chapelle St-Martin, qui a une histoire toute particulière !).

- Mutzig, 1886-1898, mobilier de l'église St-Maurice (chaire et maître autel classés Monuments Historiques en 1982). Le buffet de l'orgue Schwenkedel date, lui de 1932, et il n'est peut-être pas de Klem.

- Ammerschwihr, 1888, mobilier de l'église St-Martin (en particulier la chaire). Le buffet de l'orgue remonte à 1762, puisqu'il provient de l'instrument de Louis Dubois, avec des sculptures de Ketterer (Colmar).

- Geispolsheim, 1888, buffet de l'opus 18 de Martin Rinckenbach.

- Niederhergheim, 1888 buffet de l'orgue Martin Rinckenbach. C'est Rinckenbach qui paya ce buffet à Klem, la paroisse lui laissant en échange l'ancien orgue du lieu (Martin Bergäntzel, 1792).

- Thann, vers 1888, l'autel secondaire (avec retable) du Sacré-Coeur de Jésus marque à nouveau l'association avec Martin Feuerstein ; buffet de l'orgue Martin Rinckenbach, 1888, qui abrite toujours l'orgue actuel.

- Kingersheim, 1891, buffet de l'opus 32 de Martin Rinckenbach

- Lutter, 1892 mobilier de l'église St-Léger qui donna à l'Alsace son titre de "Pays des Orgues". L'orgue (et son buffet) sont de Joseph Callinet, bien sûr (1844).

- Houssen, 1897, buffet de l'opus 55 de Martin Rinckenbach.

- Ensisheim, 1897, le buffet du magnifique opus 56 de Martin Rinckenbach porte un écusson de Klem.

Le cartouche de Klem, sur le flanc droit du buffet d'Ensisheim,photo de François Comment.Le cartouche de Klem, sur le flanc droit du buffet d'Ensisheim,
photo de François Comment.

- St-Amarin, 1897, Théophile retourne sur les traces de son père, et fournit le mobilier de l'église Sts-Projet-et-Amarin, et en particulier le grand buffet de l'orgue Martin Rinckenbach. Cette réalisation avait figuré à l'Exposition 1894 de Strasbourg. A cette époque, c'était ainsi que l'on rencontrait ses clients !

- Gueberschwihr (avant 1898), St-Pantaléon, on y retrouve à la fois Martin Feuerstein et Théophile Klem. L'orgue est plus récent (1943).

- Monbéliard (25), fin 19ème, mobilier de l'église Saint-Maimboeuf.

- Thierenbach, 1898, une importante partie du mobilier de la basilique

- Rombach-le-Franc, 1898, mobilier de l'église Ste-Rosalie (mais pas le buffet de l'orgue, qui est de Brutschi, 1935).

- Scherwiller, 1899, mobilier de l'église Sts-Pierre-et-Paul ; en 1921, buffet de l'orgue Joseph Rinckenbach, l'un des premiers construits par le fils de Martin après la mort de ce dernier (1917).

L'autel latéral gauche à Scherwiller (1899).L'autel latéral gauche à Scherwiller (1899).

- Hindlingen, 1904, buffet de l'orgue Martin et Joseph Rinckenbach, et probablement une bonne partie du mobilier de l'église St-Anne.

- Achenheim, 1907, mobilier de l'église St-Georges. Le buffet de l'orgue avait été réalisé (pour l'instrument précédent l'orgue actuel) en 1851 par la maison Stiehr. Celle-ci construisait en effet ses buffets elle-même.

- Mulhouse, 1908, mobilier de l'église St-Fridolin (avec des peintures de Martin Feuerstein).

Si la guerre de 1914-1918 ne fut pas fatale à la maison Klem, le retour à la France infléchit profondément le goût pour le mobilier religieux. C'est l'année 1923 qui fut finalement la plus noire, puisqu'un incendie ravagea en janvier les ateliers de Colmar. Théophile ne s'en remettra pas : il s'est éteint le 19 novembre 1923. [SteOdile2012]

- Erstein, 1914, transformation du buffet Johann Georg Rohrer, 1744, pour accueillir l'orgue Roethinger.

- Riedisheim, 1922, mobilier de l'église du couvent des Rédemptoristes.

La période 'après Théophile' (1923-1934)

La veuve et la fille de Théophile, associées à Maurice Nitsch perpétuèrent la maison Klem, mais le mobilier religieux ne suffisait plus à remplir les carnets de commande. L'entreprise ferma ses portes en 1934. [SteOdile2012]

- Brunstatt, St-Georges, 1924, mobilier de Klem, avec des peintures de Martin Feuerstein (installé à Munich) et Marcel Imbs (Strasbourg). Le maître-autel est la dernière oeuvre de Théophile. Mais en 1926, c'est Boehm qui fournit le buffet de l'opus 177 de Joseph Rinckenbach.

- Carspach, 1925, mobilier de l'église St-Georges. Le buffet de l'orgue Joseph Rinckenbach, 1930, est dû à Camille Rudmann et Justin Guthmann, avec des sculptures d'Alfred Klem.

- Largitzen, 1926 mobilier de l'église St-Georges. Le maître-autel comprend une peinture de Martin Feuerstein figurant St-Georges.

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Références Sources et bibliographie :

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Immatriculation de l'orgue actuel : F680066012P01
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